Le petit garçon et Picasso

Un petit-fils de trois ans nous accompagne dans notre visite au musée Picasso, dans le quartier du Marais à Paris.

En vérité, c’est nous qui le suivons alors qu’il trottine dans les immenses espaces de l’hôtel Salé où est installé le musée. Continuer la lecture de « Le petit garçon et Picasso »

Toutes peines confondues

Les éditions iX ont publié en mars 2025 « Toutes peines confondues, de la disparition forcée à l’engagement citoyen, parcours d’une ex-détenue politique marocaine », livre de Fatna el Bouih, traduit de l’arabe (Maroc) par Souad Labbize.

Fatna el Bouih, âgée aujourd’hui de soixante-dix ans, est depuis son adolescente une militante. La cause qu’elle défend est celle des personnes détenues, en particulier des femmes. Elle est aussi le devoir de mémoire à l’égard des personnes victimes de la répression, au Maroc et dans le monde. Continuer la lecture de « Toutes peines confondues »

L’Etranger de Camus revisité par François Ozon

Près de soixante ans après Luchino Visconti, François Ozon adapte au cinéma le roman « L’Étranger » d’Albert Camus.

 Le roman, paru en 1942, a pour cadre l’Alger coloniale quatre ans plus tôt. François Ozon souligne l’antagonisme des communautés européenne et « indigène » par l’usage du noir et blanc. Sur une plage écrasée de soleil, Meursault (Benjamin Voisin) ébloui par l’éclat de lumière d’une lame de couteau, tue l’Arabe qui le menaçait. Continuer la lecture de « L’Etranger de Camus revisité par François Ozon »

Chronique d’étonnement n°98

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je constate que le renoncement du premier ministre au recours à l’article 49-3 de la Constitution place le Parlement au centre de la vie publique ; je m’étonne que certaines forêts émettent davantage de CO2 qu’elles n’en stockent ; je me réjouis de la libération de Nicolas Sarkozy, qui démontre que d’autres peines existent au lieu de l’incarcération ; je m’étonne de la longévité du président camerounais Paul Biya, récemment réélu à l’âge de 92 ans. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°98 »