Meurtre en prison

La presse a relaté le meurtre d’un homme dans sa cellule par son codétenu le 14 juin au centre pénitentiaire de Rennes-Vezin.

 Le calvaire de cet homme a duré plusieurs jours. L’enquête policière a relevé sur son corps de nombreuses lésions, au visage, au tronc et aux jambes, des brulures aux pieds et dans le dos ainsi que les signes de fractures de côtes et d’un pneumothorax. Continuer la lecture de « Meurtre en prison »

Chronique d’étonnement n°89

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je trouve curieux l’usage du mot « éliminer » par le gouvernement israélien pour qualifier des assassinats ; je dis ma bonne surprise d’entendre le ministre de la Justice ouvrir des États généraux de l’insertion et de la probation ; je souligne la contemporanéité de la naissance d’une petite-fille et du décès d’une chère amie ; et je m’indigne des rafles d’étrangers sans papiers organisées par le ministre de l’intérieur. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°89 »

Le Familistère de Guise

Le Familistère de Guise, à une quarantaine de kilomètres au nord de Laon, est un lieu chargé de l’histoire de la révolution industrielle et des idéologies socialistes du dix-neuvième siècle. Il se visite comme musée depuis 2010.

Les bâtiments que l’on visite aujourd’hui ont été construits dans la seconde moitié du dix-neuvième siècle. Il s’agit d’un immeuble d’habitation de quatre niveaux, construit autour d’une cour couverte sur laquelle donnent des appartements ; d’un théâtre et d’écoles ; d’une buanderie et d’une piscine au bord de l’Oise, entre le Familistère et l’usine où étaient produits les poêles Godin. Continuer la lecture de « Le Familistère de Guise »

Chronique d’étonnement n°88

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je dis mon étonnement d’être considéré comme un mythe au sein de la structure que j’ai dirigée il y a un quart de siècle. Je ne sais si je dois m’étonner de la proposition du ministre de la Justice de rétablir les peines plancher et de supprimer le sursis du code pénal. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°88 »