Dans « Immortelle randonnée, Compostelle malgré moi », Jean-Christophe Rufin raconte son pèlerinage, qu’il considère comme plus bouddhiste que chrétien.
L’auteur considère son expérience de pèlerin comme « une initiation qui pénètre dans l’esprit par le corps (…) Pour le dire d’une formule qui n’est plaisante qu’en apparence, en partant pour Saint Jacques, je ne cherchais rien et je l’ai trouvé. » Continuer la lecture de « Immortelle randonnée »