Dans Frantz (2016), François Ozon parle en allemand et en français de la cruauté de la guerre, du mensonge et de la fascination amoureuse.
En 1919, l’arrivée d’un jeune Français dans le petit village allemand de Quedlinbourg suscite une forte hostilité : presque tous les habitants ont perdu un ou plusieurs fils dans l’horrible guerre. Le ressentiment est fort. Continuer la lecture de « Frantz »