Rio Lobo

Arte TV a récemment diffusé « Rio Lobo », western de Howard Hawks (1970) avec John Wayne dans le rôle principal.

 Alors que la guerre de Sécession est sur le point de s’achever par la victoire des Nordistes, un bataillon sudiste, commandé par le Capitaine Pierre Cordona (Jorge Rivera) parvient à intercepter un train et à s’emparer de son contenu : une malle d’or destinée à l’armée nordiste. Un détachement nordiste commandé par le Colonel Cord McNally (John Wayne) se lance à sa poursuite. Continuer la lecture de « Rio Lobo »

The Bookshop

« The bookshop », film d’Isabel Coixet, est un beau film sur la magie des livres, la méchanceté, l’amitié et le courage.

 Florence Green (Emily Mortimer) est devenue veuve pendant la guerre. Dix ans plus tard, elle revient s’installer dans son village natal, au bord de la mer au nord de l’Angleterre. Elle porte un projet : installer une librairie dans une vieille maison abandonnée qu’elle entend retaper. Continuer la lecture de « The Bookshop »

Prisons au Japon et dans le Maryland

Dans sa série documentaire « État de choc », la chaîne de télévision W9 a diffusé récemment deux reportages sur des prisons au Japon et dans l’État américain du Maryland, dont la capitale est Baltimore.

 « État de choc » se présente comme une émission qui mêle découverte et sensations fortes. Plusieurs documentaires qu’elle diffuse ont pour thème la prison, un univers méconnu (découverte) où règle la violence (sensations fortes). Malgré son caractère racoleur, ce qu’elle fait découvrir de la réalité carcérale est intéressant. Continuer la lecture de « Prisons au Japon et dans le Maryland »

Patria

« Patria », roman de Fernando Aramburu Irigoyen (2016), est un formidable livre sur la recherche de la vérité et du pardon après un déchaînement de violence.

Le 21 octobre 2011, l’ETA annonça publiquement l’arrêt définitif de son activité armée. Vingt ans auparavant, l’un de ses commandos avait assassiné un entrepreneur, Txato, pour défaut de paiement de « l’impôt révolutionnaire ». Bien avant le meurtre, Txato avait été condamné à la mort sociale : des graffitis le désignant comme traitre avaient fleuri sur les murs du village. Du jour au lendemain, on avait cessé de lui adresser la parole. Même son ami Joxian, son copain des randonnées cyclotouristes du dimanche matin, s’était détourné de lui. Continuer la lecture de « Patria »