Relire « Budapest »

J’ai pris plaisir à relire Budapest (Budapeste en portugais brésilien), roman écrit par Chico Buarque en 2003. J’en avais rendu compte dans « transhumances » en novembre 2010.

 José Costa vit à Rio de Janeiro avec sa femme Vanda et leur fils Joaquinho. Il est écrivain anonyme, ou encore « ghost writer » ou « nègre ». Il écrit pour le compte d’autrui articles de journaux, discours, dissertations, lettres d’amour et biographies.  Continuer la lecture de « Relire « Budapest » »

Et la fête continue

Dans « Et la fête continue », Robert Guédiguian et ses acteurs fétiches, Ascaride et Darroussin, emmènent le spectateur dans un Marseille où le sentiment d’urgence le dispute au découragement.

Rosa (Ariane Ascaride) milite depuis toujours, dans son quartier du vieux Marseille et à l’hôpital où elle est infirmière. Elle a deux fils et deux petits-enfants. L’un de ses fils, Sarkis (Robinson Stévenin) a choisi de laisser de côté sa carrière de médecin pour faire vivre un bistrot arménien. Il est passionnément amoureux d’Alice (Lola Naymark) qui, comme Rosa, milite dans des associations. Continuer la lecture de « Et la fête continue »

Sans toit ni loi

Arte TV a récemment diffusé « Sans toit ni loi », film réalisé par Agnès Varda en 1985 avec Sandrine Bonnaire dans le rôle principal.

 Une jeune femme (Sandrine Bonnaire) est trouvée morte dans un fossé. L’enquête conclut à une mort naturelle par hypothermie. Elle n’avait pas de papier. Elle passe du fossé à la fosse commune. Continuer la lecture de « Sans toit ni loi »

Chronique d’étonnement n°52

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je suis ému par l’errance d’une barquette de plastique dérivant sur une flaque d’eau dans une maison d’arrêt ; je suis amusé par l’association du mot « Bordeaux » à un aéroport de Montréal ; je fais l’expérience du stress lié à l’obtention de papiers d’état-civil. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°52 »