« La Nouvelle Femme » est le premier long-métrage de Léa Todorov. Il est consacré à un épisode de la vie de la pédagogue Maria Montessori, autour de l’année 1900, lorsqu’elle décide d’appliquer à l’éducation de tous les enfants des méthodes réservées jusque là à des enfants handicapés mentaux.
Maria (Jasmine Trinca), l’une des premières Italiennes à avoir obtenu le doctorat en médecine, travaille auprès d’enfants « neuro-atypiques » dans un institut spécialisé à Rome. Au cours d’un séjour à Paris, elle a rencontré une courtisane, Lili d’Alengy (Leïla Bekhti). Lili est mère d’une petite fille réputée, selon les termes utilisés alors, « idiote » : Tina (Rafaëlle Sonneville-Gaby). Elle cherche à tout prix à se débarrasser de ce rejeton qui lui empoisonne la vie. Elle s’installe à Rome pour la confier à Maria. Continuer la lecture de « La Nouvelle Femme »