Chronique d’étonnement n°43

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

 Dans cet article de transhumances, j’admire la solidarité dont fait preuve sur un pédalo une toute petite fille. Et je m’étonne de la popularité du Tour de France, si peu de temps après les émeutes.

Pédalo

Nous louons pour une heure un pédalo à Bombannes, sur le lac de Carcans Hourtin. À bord, deux adultes et quatre enfants, deux garçons et deux filles de 4 à 8 ans. Plus une passagère clandestine, une petite fille de deux ans et demi dont l’embarquement n’était pas prévu, mais qui a réussi à imposer sa présence.

Les enfants se laissent glisser sur le toboggan du pédalo et nagent jusqu’à l’échelle. La petite leur tend sa main minuscule pour les aider à remonter à bord. La solidarité n’a pas d’âge.

 

Tour de France

Je m’étonne de l’enthousiasme populaire pour « la grande boucle », si peu de temps après la sidération des émeutes.

Pour l’arrivée de l’étape à Bordeaux, la foule se presse sur plusieurs rangs. La plupart des spectateurs tentent de prendre une photo par leur smartphone. Les coureurs roulent si vite que le passage du peloton ne dure que quelques secondes. Prendre une photo, même floue, même ratée, sert à dilater cet instant. Partagée sur WhatsApp, elle prouve que j’étais bien là, à cet instant-là.

Le clou de la caravane publicitaire, ce sont les 2cv Cochonou. Cent mille bobs Cochonou seront distribués au fil des 21 étapes du Tour. Un enjeu majeur de l’épreuve consiste à se positionner au meilleur endroit pour optimiser les chances de gagner ce précieux trophée.

Une réflexion sur « Chronique d’étonnement n°43 »

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *