Vivre

Dans “Vivre », le jeune réalisateur sud-africain Oliver Hermanus plonge le spectateur dans le Londres de l’après-guerre, entre les rigidités sociales et l’urgence de la reconstruction.

 Chaque matin, en 1953, un groupe de fonctionnaires de la mairie de Londres prend le train jusqu’à la gare de Waterloo, strictement vêtus d’un costume trois-pièces et coiffés d’un chapeau melon. Ils travaillent ensemble dans un bureau encombré de paperasses sous la direction d’un chef ombrageux, Sir Williams (Bill Nighy). La règle n°1 est la fuite des responsabilités : on se renvoie les dossiers gênants du bureau de l’urbanisme à celui des parcs et jardina et à celui de l’assainissement, jusqu’à ce qu’ils reviennent au service envoyeur. Continuer la lecture de « Vivre »

Une robe pour Mrs Harris

« Une robe pour Mrs Harris » (Mrs Harris goes to Paris), film réalisé par Anthony Fabian, est une agréable comédie qui brode sur l’invisibilité des personnes du dessous, dans une société de classes.

 Douze années après la fin de la seconde guerre mondiale, en 1957, Ada Harris (Lesley Manville) attend encore le retour de son mari Eddie. Lorsqu’enfin elle reçoit la confirmation de sa mort au combat, elle se demande ce qu’elle peut faire de sa vie. Continuer la lecture de « Une robe pour Mrs Harris »

Chronique d’étonnement n°26

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

 Dans cet article de transhumances, je me permets de l’humour noir sur la surpopulation carcérale. Et je m’étonne de la brièveté du mandat de Liz Truss comme première ministre britannique. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°26 »

Chronique d’étonnement n°24

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

 Dans cet article de transhumances, je m’étonne du retentissement mondial des obsèques de la reine Elizabeth II. J’ignorais l’existence de bunkers abritant des œuvres d’art dans les ports francs d’aéroports internationaux. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°24 »