L’empreinte des tueurs

Arte TV a récemment diffusé « l’empreinte des tueurs », téléfilm policier d’Urs Egber, entre une ville allemande et un village calabrais.

 À la sortie d’une pizzéria de Mönchengladbach, vers 2h du matin, cinq hommes sont assassinés par deux tueurs qui s’enfuient. Continuer la lecture de « L’empreinte des tueurs »

Les lions de Sicile

« Les lions de Sicile », roman historique de Stefania Auci publié en Italie en 2019, devrait être disponible dans sa traduction française en avril 2021.

Le roman commence en 1799, lorsqu’un tremblement de terre, le deuxième en moins de vingt ans, touche le village calabrais de Bagnara. Deux frères, Paolo et Ignazio Folio, dont le métier consiste à transporter à bord de leur petit voilier des épices de la Calabre à la Sicile et qui disposent d’un bureau de vente à Palerme, décident de s’y installer. Le modeste comptoir est transformé en un véritable commerce où l’on vend des aromates et des plantes médicinales. Peu à peu, leur renommée et leur clientèle s’accroissent. Continuer la lecture de « Les lions de Sicile »

Controluce, des bénévoles à la prison de Pise

Une thèse sur le bénévolat en prison en Italie et en France m’a permis de découvrir Controluce, une association de bénévoles active à la prison de Pise (Toscane), dans et hors les murs.

 Patrizia Pacini Volpe, chercheuse à l’Université Nice cöte d’Azur, a réalisé une thèse sur « le rôle positif du bénévolat en prison, expériences de solidarité et pratique de subsidiarité ». Elle a pour cela comparé les pratiques du bénévolat à la prison de Pise, Casa Circondariale Don Bosco, et à la maison d’arrêt de Grasse. Continuer la lecture de « Controluce, des bénévoles à la prison de Pise »

L’enfant perdue

Le quatrième tome de la saga d’Elena Ferrante, « l’enfant perdue » (storia della bambina perduta) couvre la maturité et la vieillesse de Lila (Rafaella) et Lenù (Elena), les deux amies d’enfance issues toutes deux d’un quartier populaire de Naples mais aux parcours de vie opposés.

 Le tome 3 de « l’amie prodigieuse » avait été ma lecture d’été et je m’étais promis de ne toucher au tome 4 qu’en 2021. Mais j’ai été happé et je n’ai pas résisté à m’engager dans ses 640 pages après les 480 avalées goulument au mois d’août. Continuer la lecture de « L’enfant perdue »