L’arabe dans le français

On mesure mal l’influence de la langue arabe sur la langue française. Le court texte qui suit va en fournir une démonstration.

 « Françoise était vêtue d’une jupe en mousseline chamarrée et portait des savates légères. Son couffin était un véritable fardeau. Elle y avait placé pêle-mêle des épinards, des aubergines, des artichauts, des potirons, du safran, de l’estragon, des abricots, du sucre et même des oranges un peu avariées. » Continuer la lecture de « L’arabe dans le français »

Calligraphie arabe

Des étudiants en langue et civilisation arabe de l’Université Bordeaux Montaigne ont récemment exposé les productions de leur atelier de calligraphie arabe.

 Dans le hall du grand auditorium de l’Université, des tables ont été disposées, proposant du thé à la menthe et des pâtisseries du Maghreb. Les productions de l’atelier de calligraphie arabe sont affichées sur des panneaux. Sur une autre table, des étudiants de l’atelier font quelques figures de calligraphie. Continuer la lecture de « Calligraphie arabe »

Driss Ksikes, citoyen critique

L’Université Bordeaux Montaigne a récemment organisé une rencontre avec Driss Ksikes, écrivain marocain d’expression française qui se présente lui-même comme « citoyen critique ».

 Âgé de 47 ans, Driss Ksikes a partie liée avec l’écriture. Il écrivit d’abord dans des journaux comme critique littéraire et dirigea une revue, Tel Quel. Comme journaliste, il s’est intéressé à une grande variété de sujets, de la littérature à la politique et à l’économie. Continuer la lecture de « Driss Ksikes, citoyen critique »

Le livre de l’Émir

« Le livre de l’Émir », roman historique de Waciny Laredj, raconte l’amitié de l’Émir Abd el Kader et du premier évêque d’Algérie, Antoine Adolphe Dupuch.

 Publié en arabe en 2005, le livre a été traduit par Marcel Bois avec la collaboration de l’auteur et publié en français chez Actes Sud l’année suivante. « Transhumances » s’est fait récemment l’écho d’un précédent roman de Waciny Laredj, « fleurs d’amandier ». Continuer la lecture de « Le livre de l’Émir »