Histoire de La Réunion en BD

Dans leur bande dessinée « Histoire de La Réunion, clés pour comprendre le présent » (Éditions du Signe, 2020), l’historien Gilles Gauvin et le dessinateur Fabrice Urbatro mettent en scène une jeune femme à la recherche de ses racines.

 Cette jeune femme s’appelle Adèle Quéméner. Elle est de saint Brieuc, mais sa grand-mère Rose-Marie était une « enfant de la Creuse », l’une de ces enfants réunionnais retirés de leur famille dans les années 1960 pour repeupler des régions léthargiques de métropole. Continuer la lecture de « Histoire de La Réunion en BD »

Chronique d’étonnement n°28

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

 Dans cet article de transhumances, j’évoque deux expériences vécues à l’occasion d’un séjour récent à l’Île de La Réunion. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°28 »

Une plantation de café à Saint Louis

Dans les hauts de Saint Louis (Réunion), le Musée d’arts décoratifs de l’Océan Indien (MADOI) est installé sur le domaine de Maison Rouge, l’un des derniers domaines caféiers du dix-neuvième siècle.

 Le MADOI présente des expositions temporaires consacrées aux arts décoratifs des cultures présentes sur l’île. C’est ainsi que jusqu’au 31 janvier 2023 on peut visiter « Le bestiaire du MADOI, animaux fabuleux, symboliques, sacrés. » Les deux premières sections sont consacrées à des cultures fortement ancrées sur l’île de la Réunion : chinoise et hindoue. Continuer la lecture de « Une plantation de café à Saint Louis »

Le cimetière des esclaves oubliés

Le cimetière des esclaves oubliés, à Saint Paul (Île de La Réunion) est un monument particulièrement émouvant.

Entre le cimetière marin et le bord de mer, un espace de souvenir a été aménagé. Un écran métallique et deux arbres ferment la perspective. Une vingtaine de plots en béton surmontés de petites sculptures en pierre blanche évoquant des flammes font face à l’écran et à l’océan. Continuer la lecture de « Le cimetière des esclaves oubliés »