Chronique d’étonnement n°52

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je suis ému par l’errance d’une barquette de plastique dérivant sur une flaque d’eau dans une maison d’arrêt ; je suis amusé par l’association du mot « Bordeaux » à un aéroport de Montréal ; je fais l’expérience du stress lié à l’obtention de papiers d’état-civil. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°52 »

Chronique d’étonnement n°51

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je suis témoin de la terreur d’une chatte un jour d’orage ; je m’étonne que trois prisonniers puissent cohabiter dans une cellule qui devrait être individuelle ; et je suis surpris du degré de surpopulation d’une prison dans la région de Recife au Brésil. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°51 »

Chronique d’étonnement n°50

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’interroge sur la portée du droit international dans le conflit israélo-palestinien ; j’avoue être étonné par la vitesse à laquelle croît l’économie indienne ; la victoire de l’opposition proeuropéenne aux élections en Pologne a constitué une bonne surprise ; je regarde avec intérêt la croissance de deux petites-filles. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°50 »

Chronique d’étonnement n°49

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, j’évoque l’effroi et la sidération qui ont saisi le monde à l’occasion de l’attaque terroriste sur Israël ; et j’ai été intéressé par une réflexion sur la manière dont, face à des juges, des accusés affichent leur repentir de manière plus ou moins convaincante selon le milieu social auquel ils appartiennent. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°49 »