Chronique d’étonnement n°74

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne de l’échelle de prix pratiquée par les entreprises de luxe ; célébrer les pirates comme des personnages admirables me semble un contresens ; j’ai rencontré à Split une vieille histoire de réfugiés qui fait échos aux drames d’aujourd’hui. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°74 »

Faits et chiffres

 Ne pas faire du bon sens et des opinions communes les seules règles du jugement, en appeler aux faits et aux chiffres, apparaît à beaucoup de nos concitoyens comme une manifestation de pédantisme bobo. Cessez d’écouter France-Info et France Inter ! 

Est-il sûr que nous sommes confrontés à une déferlante de délinquance ? Depuis vingt ans ou dix ans, les homicides, les atteintes aux personnes, les trafics, les cambriolages ou les escroqueries, ont-ils tendance à croître, à rester stables ou à décroître ? Continuer la lecture de « Faits et chiffres »

Chronique d’étonnement n°73

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne de l’ampleur de la différence d’espérance de vie entre les jeunes confiés à l’ASE et la population générale. Mon esprit divague sur la Belle au bois dormant. Je m’étonne que, pour la première fois, le président de la République évoque les livraisons d’armes, qui sont pourtant le combustible du conflit au Proche Orient. Enfin, le mépris ressenti par des employés aux poubelles dans un établissement pénitentiaire me semble déplacé. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°73 »

Le fil

Dans “le fil”, film qu’il réalise et interprète, Daniel Auteuil met en scène une affaire criminelle dans laquelle l’avocat se bat pour l’acquittement de son client dont il est persuadé de l’innocence.

Devant la Cour d’assise, la vérité ne tient qu’à un fil. Le fil bleu retrouvé sous un ongle d’une femme assassinée. Il vient du pullover de Nicolas Milik (Grégory Gadebois), accusé du meurtre de son épouse. S’est-il arraché lorsqu’elle s’est débattue avant d’être égorgée ? Se trouvait-il là depuis des jours ? Continuer la lecture de « Le fil »