Simone, le voyage du siècle

Dans « Simone, le voyage du siècle », Olivier Dahan raconte la vie héroïque de Simone Veil (1927-2017) avec ses sommets, la loi de 1974 sur l’interruption volontaire de grossesse, l’élection à la présidence du Parlement européen en 1979 ; et en toile de fond l’expérience de la déportation.

À l’exception de la période tragique de mars 1944 (son arrestation) à avril 1945 (la libération du camp de Bergen Belsen), le film suit un ordre chronologique : l’enfance heureuse à Nice et La Ciotat, les études à Sciences Po et la rencontre avec Antoine Veil, leur mariage et la naissance de leurs enfants, la carrière de magistrate à la direction des affaires pénitentiaires, l’engagement en politique. Continuer la lecture de « Simone, le voyage du siècle »

Chronique d’étonnement n°23

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

 Dans cet article de transhumances, je m’étonne de la disparition en Italie d’objets encore récemment usuels : la carte postale et la carte routière. L’usage que fait le leader d’extrême droite Salvini du mot « ressource » pour désigner un immigré est surprenant. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°23 »

La Chartreuse de Pavie

 

Située à une dizaine de kilomètres au nord de Pavie, la Chartreuse est un monument éblouissant de la seconde moitié du quinzième siècle et de la première moitié du seizième.

 La Chartreuse fut fondée en 1396 par Galeazzo Visconti pour servir de mausolée à sa famille. Continuer la lecture de « La Chartreuse de Pavie »

Chronique d’étonnement n°18

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

 Dans cet article de transhumances, je m’étonne du silence sur le projet de « Conseil National de la Refondation », alors que la construction d’un consensus démocratique est plus que jamais nécessaire. Et un abime de perplexité s’ouvre sous mes pieds lors d’une visite en prison. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°18 »