Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.
Dans cet article de transhumances, je décris la stupeur dans laquelle m’a plongé un documentaire sur la disparition d’un vol de la Malaysain Airlines il y a dix ans ; et je m’émeus des premiers pas et des premiers mots d’un petit enfant.
MH370
France 2 a récemment diffusé un reportage de Benoît Brigier sur la disparition, dans la nuit de 7 au 8 mars 2014, du vol MH370 de la Malaysien Airlines entre Kuala Lumpur et Pékin avec 239 personnes à bord.
Sur le point d’entrer dans l’espace aérien vietnamien, l’avion aurait subitement coupé les communications, fait demi-tour et poursuivi son vol vers le sud de l’Océan Indien. Plusieurs années après sa disparition, des débris de l’avion ont été retrouvés sur les côtes de La Réunion, à Madagascar et au Mozambique.
Qu’un avion de ligne puisse se volatiliser sans laisser d’autres traces que des débris à la dérive constitue un motif de stupéfaction. Ce qui n’étonne pas, dans cet événement, c’est la détresse des familles des passagers, blackboulées d’informations inexactes en scénarios complotistes.
Main !
J’accompagne mon petit-fils âgé de 16 mois au square. Il a fait ses premiers pas il y a quinze jours. Il avance fièrement en tenant mon index dans sa petite main. Lorsque je la lâche, il proteste : main ! Premiers pas, premiers mots. Un petit pas pour l’enfant, un grand pas pour l’humanité.