« Vaut-il mieux une fin terrifiante ou un effroi sans fin ? » se demandait récemment le journal Le Monde à propos de la crise grecque.
Lorsqu’éclata en 2012 la crise de la dette souveraine grecque, j’étais convaincu que la Grèce resterait dans la zone euro. La principale raison en était que l’Allemagne avait besoin de pays faibles dans la zone monétaire pour éviter que le cours €/$ ne s’envole. Trois ans plus tard, je crains que la rupture soit irréversible. Continuer la lecture de « Grèce : la crise de confiance »