Chronique d’étonnement n°48

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne du voyage dans le temps que m’offre le Jardin d’acclimatation du Bois de Boulogne ; je reste abasourdi par la performance de la mission « Osiris-Rex » qui a prélevé des échantillons du sol d’une astéroïde et les a ramenés sur terre ; j’ai peine à croire que la prison de Tocorrón ait pu fonctionner pendant des années comme le quartier général luxueux d’une bande criminelle. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°48 »

Chronique d’étonnement n°46

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne des innovations introduites par des viticulteurs bordelais pour contrer la désaffection du vin rouge ; j’admire les mains d’un homme venu visiter un proche à la maison d’arrêt ; je m’interroge sur la récurrence de la prison dans le parcours d’Evguéni Prigogine, récemment disparu dans un « accident » d’avion. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°46 »

Le Château Lynch-Bages

À Pauillac, sur la rive gauche de la Gironde, le château Lynch Bages se trouve aujourd’hui à la pointe de la technologie viticole.

 Le nom du château associe un hameau, Bages, et une famille, Lynch. John Lynch, lit-on dans une brochure réalisée pour célébrer les travaux achevés en 2020, parti de Galway, se réfugia à Bordeaux en 1691 après la défaite des catholiques irlandais à la bataille de La Boyne.  Continuer la lecture de « Le Château Lynch-Bages »

Les pionniers du Street Art

L’Institut Culturel Bernard Magrez de Bordeaux consacre jusqu’au 2 avril une exposition consacrée aux pionniers du Street Art en France.

 L’idée même d’une telle exposition dans le château Labottière, du 18ième siècle, peut sembler incongrue. Le Street Art, comme son nom l’indique, se pratique dans la rue, il ne se conçoit pas enfermé. Il est éphémère : il conquiert son espace de manière sauvage et ne se formalise pas s’il est effacé. Il est militant, et en tant que tel dépendant d’un contexte historique. Continuer la lecture de « Les pionniers du Street Art »