Avec « mon crime », François Ozon réalise une comédie ébouriffante sur l’analogie entre la justice et le théâtre, jusqu’à les fusionner.
On dit souvent que la justice, en particulier son expression la plus dramatique, la Cour d’Assises, est un théâtre dans lequel juge, procureur, avocats, accusé ont un rôle à jouer. C’est ce filon qu’exploite avec succès François Ozon. Continuer la lecture de « Mon crime »