Nul homme n’est une île

Dans le cadre du Festival International du Film de Bordeaux, FIBIB, a été diffusé le film documentaire « nul homme n’est une île » réalisé par Dominique Marchais en 2017.

Le film emmène le spectateur en Sicile, en Autriche et en Suisse à la rencontre de pionniers qui expérimentent de nouvelles manières de vivre en société, en harmonie avec la nature. Continuer la lecture de « Nul homme n’est une île »

Nicolas de Staël

Le Musée d’art moderne de Paris propose jusqu’au 21 janvier 2024 une exposition consacrée au peintre Nicolas de Staël (1914 – 1955).

L’exposition est organisée sur une base strictement chronologique. Né dans une famille aristocratique de Saint Pétersbourg, le jeune Nicolas émigra avec sa famille en Pologne à l’âge de cinq ans pour fuir la révolution bolchevique et se trouva alors orphelin. Continuer la lecture de « Nicolas de Staël »

Les alchimies

Dans « Les alchimies » (Seuil, 2023), Sarah Chiche emmène le lecteur sur les traces de médecins fascinés par Goya et sa connaissance intime de l’esprit humain, bien décidés à entrer eux-mêmes dans l’univers du peintre.

 Camille Cambon est médecin légiste, comme son père lui-même l’avait été. Elle reçoit un courriel l’invitant à rencontrer à Bordeaux quelqu’un qui lui parlera du crâne de Francisco de Goya. Lors de l’inhumation du peintre, mort dans cette ville en 1828, on avait constaté l’absence de sa tête. Pierre Cambon, le père de Camille avait écrit un livre sur Goya. Continuer la lecture de « Les alchimies »

Fuir le bonheur de peur qu’il ne se sauve

« Fuir le bonheur de peur qu’il ne se sauve », écrit par Serge Gainsbourg pour Jane Birkin en 1983, peu après leur rupture, est l’une de ses plus belles chansons.

La personnalité de Jane Birkin, récemment décédée, m’a accompagné pendant des décennies. Dans Le Monde, Véronique Montaigne lui a consacré un beau portrait, « son mélange de séduction et d’intelligence, sa facilité à étaler ses sentiments sous des dehors pudiques ». Continuer la lecture de « Fuir le bonheur de peur qu’il ne se sauve »