L’excellent roman de Maylis de Kerandal, « réparer les vivants », doit son titre à « Platonov, le fléau de l’absence de pères », pièce écrite par Anton Tchékhov vers 1878 (traduction de Rezvani, Actes Sud Babel 2003).
La première scène met en présence Anna, aristocrate, jeune veuve d’un général, et Trileztki, qui se trouve être médecin, comme l’auteur. « Non vraiment rien… C’est comme ça… On traîne… On s’ennuie tranquillement », dit Anna. Continuer la lecture de « Platonov »