Chronique d’étonnement n°84

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, j’admire la capacité des astronomes à contempler quinze milliards d’années d’histoire cosmique ; je suis heureux qu’un ami réalise son rêve d’enfant, devenir vieux ; et je remercie le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, pour ses tonitruants effets d’annonce qui alimentent, deux fois par mois, les chroniques d’étonnement. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°84 »

Le dernier souffle

Avec « le dernier souffle », inspiré du livre éponyme de Régis Debray et Claude Grange, Costa-Gavras fait pénétrer le spectateur dans une unité de soins palliatifs.

À l’occasion d’un examen qui détecte une possibilité de cancer, Fabrice Toussaint (Denis Podalydès), philosophe et écrivain, rencontre le docteur Augustin Masset (Kad Merad), qui dirige une unité de soins palliatifs. Continuer la lecture de « Le dernier souffle »

Dubin’s lives

Dubin’s lives, roman publié en 1979 par Bernard Malamud (1914-1986) a été récemment publié en français sous le titre « les multiples vies de William D. » par les éditions Rivages, dans une traduction d’Olga Teodoroff. Les citations incluses dans cet article ont été traduites par l’auteur de « Transhumances ».

William Dubin, né de parents pauvres dans le quartier juif de Brooklyn, a maintenant 56 ans. Il a commencé sa vie professionnelle comme journaliste spécialisé dans les nécrologies. Il a alors découvert sa vocation. Il est devenu biographe, Il a notamment publié la vie de Henry David Thoreau (1817-1862) et celle de Mark Twain (1835-1910). Il s’attaque à celle de l’écrivain britannique D. H. Lawrence (1885-1930). Continuer la lecture de « Dubin’s lives »

Chronique d’étonnement n°75

Je souhaite partager dans « transhumances » ce qui m’a étonné, dans ma vie personnelle comme dans l’actualité.

Dans cet article de transhumances, je m’étonne que l’on continue à présenter la construction de nouvelles prisons comme une solution à la délinquance. Je partage l’effarement de beaucoup d’Européens face à l’élection de Donald Trump à la présidence des États-Unis. Je découvre l’intérêt d’un petit garçon pour la mort. J’admire les personnes âgées qui décident de voyager malgré les maux que leur inflige la vieillesse. Continuer la lecture de « Chronique d’étonnement n°75 »