Dans « Sauve-toi, la vie t’appelle » (Odile Jacob, 2012), Boris Cyrulnik raconte son enfance traquée pendant la guerre puis « encryptée » après la libération. A partir de son expérience, il décrit le fonctionnement de la mémoire traumatique.
« Transhumances » a publié des notes de lecture sur « si c’est un homme », de Primo Levi, et « W ou le souvenir d’enfance », de Georges Perec. Ces deux ouvrages naissaient du devoir impérieux de témoigner de l’horreur absolue de la machine d’extermination nazie, et de la conscience l’irrecevabilité de ce témoignage par une opinion publique soucieuse de tourner la plage. Continuer la lecture de « Sauve-toi, la vie t’appelle »